look after me | Lou

"Que ?"

Ah ! Il fallait qu'il finisse sa phrase !!! Et tout de suite !
Amoureuse Lou ? Peut-etre bien. Charmée en tous cas.
Et puis, une main sous un T-shirt. Quoi ? Vous dites ? Hoo rien de grave. 'Pas tres catholique' mais bon (^^).
Ils étaient là. Debout dans la cuisine. Enlacés. Contact de la main gelée de Lou sur le corps chaud de Peter.

"Alors ? Tu sais bien que je suis impatiente alors ne me fait pas languir !"
dit-elle d'une air amusé.

Un baiser volé. Puis deux. Puis trois. Une ribambelle. Une kyrielle de baiser. sucrés. Doux. Tendre.Voire parfois fougueux.
Hin hin ...

Tout ce qu'il voulait dire c'est qu'il était amoureux d'elle. Depuis ... Peut-importe. Na pas compter les minutes qui passent. C'est tout. Profiter. Et rien d'autre que de continuer à l'embrasser. Enfin.

"Mais j'aime quand tu t'énerves. D'impatience ... "

Il posa son regard dans la prunelle des pupilles de Lou. Amoureux ? Vous croyez ?! Enfin. Il passa sa main sous le T-shirt de Lou. Sa peau douce. Un grand frisson. Oui, bien amoureux. De cette attraction entre eux. D’elle. De ses lèvres. De sa patience aussi ... Il caressait cette peau de ses doigts. Et embrassait fougueusement la jeune femme.
Lou.
Elle ...

"Je ... "

Il avait beaucoup de mal à en placer une. Entre cette multitude de baiser. Puis ses bras enlaçant la jeune femme. Bientôt des baisers dans le cou et tantôt des embrassades infinies. Les deux peaus collées l'unes contre l'autres. Et une fusion presque parfaite en leurs deux corps ...

Oui, bien amoureux ...

Contact entre la main de Peter et le corps de Lou. Frisson. Quant à elle ses doigt glissèrent un peu automatiquement vers le tatouage de Peter. Ah c'est qu'elle l'aiamit ce tatouage. Son autre main passa dans les cheveux de Peter. La jeune fille sentit qu'elle allait défaillir, ses jambes ne la portaient plus. Elle était autre part. On ne sait où.
Leurs langues dansaient un rythme endiablé. Celle de Lou jouant avec le piercing de Peter.
Le jeune homme n'avait pas finis sa phrase. Encore plus déstabilisant. Lou ne savait plus que faire. Ses doigts se crispèrent sur la peau de Peter. Affolée, désir brulant de continuer ce petit jeu. Tout à fait paradoxal.
Aucun son ne pouvait sortir de sa bouche. Elle avait le souffle coupé, haletant. Ses yeux étaient clos. Ses lèvres brulantes passaient du vide, aux lèvres puis au cou de Peter. Cercle vicieux infernal. Impossible de le rompre, ce serait trop dommage. Ils étaient aller trop loin. impossible de s'arrêter.
Minuit et demie. La nuit ne fait que commencer.
Ils étaient toujours dans cette cuisine ouverte. Vue imprenable sur la baie vitrée qui offrait une vue plongeante sur la ville animée. Mais il n'y avait plus rien autour d'eux. Rien ne parvenait à leurs oreilles. Rien à par leurs deux souffles haletants.
Tous leurs sens étaient en éveil. Ouïe, goût, toucher, vue, odorat ... Odeur de peaux brulante de désir. Vision de deux corps entrelaçés. Bruit de leurs souffles. Goût sucré de leurs lèvres ...
Plus rien ne pourrait les arrêter maintenant .... Plus rien ...

Cette nuit tellement unique commençait parfaitement bien. Entrelacés dans l'obscurité de la cuisine. S'offrant des baisers à ne plus en respirer. Comme une soupe populaire. Gratuit ... Leurs deux corps étaient enchainés l'un à l'autre. Inséparable. Comme collés à la super glue. Les mains serrées l'une dans l'autre. Des gestes tendres et attentionnés
Peter passa ses doigts dans cette cascade de cheveux blonds. Décolla ses lèvres de celle de la jeune guitariste. Un vrai supplice, je vous l’accorde. Un sourire amoureux - et magnifique -. Un regard ... Waw. Toutes les filles tueraient pour qu'un jour Peter Davies les regarde de cette manière. Enfin ... Ses yeux châtains-bruns, pleins d’étoiles, étaient plongés dans les prunelles de Lou. Lançant des regards intenses. Accompagnés de grands Boom-Boom cognant contre sa poitrine et annonçant la cadence. Finalement, un, deux, puis une multitude de baisers volés.

A ce regard, la jeune fille défaillit littéralement. Décharge electrique. Fluide invisible parcourant son corps. Son coeur battait tellement vite, qu'il allait cesser son activité, si cela continuait ainsi. Lou ne sentait plus aucun de ses membres. Presque léthargique, paralysée, Lou.
Elle avait eu envie de danser ? et bien maintenant elle n'avait plus envie que d'une chose. Mourir. Mourir de bonheur. Mourir de cet amour. mourir de ces baisers que lui offrait Peter. Sans cesse. Constante envie de s'enfuir. S'enfuir avec lui. Partir loin. Vivre leur amour. Leur désir. Leur excitation. Seuls, sans relâche, sans contraintes.

Tout se bousculaient dans la pauvre tête de la jeune demoiselle. Les mains de Peter dans ses cheveux. Les sienns dans ceux de Peter. Parfaite symbiose. Geste parfait. Complémentaires. Indissociables. Inextricablement liés.
Bonheur perpétuel. Lou ne se sentait plus. elle avait perdu l'usage de la parole. seul un ...

"Peter ..."

... s'échappa de sa bouche, entre deux baisers volés. Elle n'avait rien à dire. Juste à faire. Pourtant, seul ce petit mot parvint à sortir. Pourquoi ? Même Lou ne le savait pas. En fait, elle ne s'en était même pas rendu compte elle-même.
Elle ne savait plus rien. Quel jour ? Quel heure ? Chez qui ? Avec qui ?
Samedi. Une heure du matin. Chez elle. Avec lui.
Où allaient-ils en arriver ? Tout tournait autour d'eux, jusqu'à en devenir totalement invisible. Rien qu'eux. Et leur désir ....

Un tel cercle vicieux ne devrait jamais cesser d'exister. Ils étaient ou plutôt avaient l'air tellement heureux à cet instant précis, que rien n'aurait pu envisager une suite, ou fin de l'histoire; un dénouement tragique qui rentrait dans la classe du dramatique. Rien. Absolument tout présageait le célèbre "Ils vécurent heureux, dans le meilleur des mondes, et eurent beaucoup d'enfants. ". Un amour qui dégageait une telle puissance. Une ambiance parfaitement imposée. Pourtant tout ça, et personne ne peut dire le contraire. Ne restera que éphémère.
Peter tenait Lou contre lui. Un peu possécivement. Personne n'aurait pu lui enlever Sa Lou O'Neill. Ses deux mains posées sur les hanches de la jeune femme. Les yeux clos. Ses lèvres rentrant sans arrêt en contact avec la peau et les lèvres de la guitariste. Sa peau frissonante collées à celle de Lou.
Amoureux. Vous croyez ?
Peter finit par se laisser tomber sur le canapé. Emportant la pauvre Louise dans une descente qui paru infinie. Cela n'interrompu aucunement les multiples baisers qu'ils s'échangeait. Lou tomba sur lui. Mais rien ne changea. Absolument rien ...

De la haine à l'amitié. De l'amitié à l'amour. De l'amour au désir.
Du salon à la cuisine. De la cuisine au canapé.
Elle sur Lui. Corps contre corps.
La jeune fille était ivre. Ivre de désir et de pulsion. elle avait chaud, trop chaud. peau et envie brûlante. Assise sur Peter, elle retira son pull. Vraiment trop chaud. Petit top noir moulant.
De nouveau, ses lèvres embrassèrent fougueusement le jeune homme.
mais que lui arrivait-il donc ? Ce n'était surement pas dans ses habitude et dans sa philosophie, de s'abandonner aux plaisirs mutuels, de cette façon et si rapidement ... Avec lui.
Ses cheveux tombèrent en cascade sur ceux de Peter. L'ébène se mélangeant à l'or.
Un regard, effarouché, l'air d'insinuer, 'sais-tu où tu m'emmènes ?'.
Un baiser volé puis deux. Une infinité. Un sourir. Et des mains. Qui parcouraient les moindres parties d'un corps féminisé, tant adulé par de nombreuses jeunes adolescentes.
Non vraiment Lou n'était plus la même ...
Ivre. Totalement ivre.

Leur deux peaux collées l'une contre l'autre. Bientôt deux peaus en sueur se fusionnant. Puis leurs lèvres mouillées embrassant les autres. Ne se lachant pas. Comme deux aimants. Oui, c'était ça. Deux aimants s'attirant l'un l'autre.
Peter avait lui aussi enlever son T-shirt. Pour laisser apparaitre un torse imberbe et pas trop musclé. On voyait son tatouage plus en détail maintenant. Cette petite étoile sur laquelle il avait flashé quand il était rentré dans cette boutique de perceur. Elle ne voulait rien dire pour lui. Juste trois heures de souffrance intense et finalement une sorte de fierté rien qu'à la voir. Enfin ... Ses mains glissaient sur les hanches de la jeune femme. Puis une serra la main de Lou. Il était tellement bien avec elle. Tellement ... Comment ne pas pouvoir être heureux ? C'était sûrement la plus belle histoire qu'il avait eu depuis ... Même pas de 'depuis' qui tient. C'était la plus belle. Vraiment.
Les deux amants avaient finalement entrepris une histoire. Qui aurait parier sur cette idylle ? Jamais personne d'assez sensé aurait pu croire quelque chose d'aussi impensable ... Et pourtant. C'était bien dans les bras de Lou qu'il était tombé. Pas dans d'autre ...
Peter passa sa main sous le T-shirt de Lou. Un petit top qui devait surement la gêner. [Pauvre Louiiiiseeee ! xD] Alors Peter lui retira et le balança à l'autre bout de la pièce. D'une telle délicatesse et en prenant tellement son temps. Qu'il manqua de casser un vase. Enfin. Il reposa ses mains sur le corps de Lou et l'embrassa encore et .... Encore.

Et hop. En un rien de temps, la jeune fille se retrouva en soutient gorge. Et le jeune homme, torse-nu par la même occasion.
Il n'y avait plus aucun doute. les deux jeunes amants allaient s'abandonner à un plaisir, qu'on ne partage qu'à deux. [ Ou à plusieurs mais ça c'est selon les variantes ... ] Un plaisir. LE plaisir. Sensuel. Expressif. Inégalé. Intense. Inouï. Visiblement ils en avaient vraiment envie.

La peau de la jeune fille frissonait. Même son tatouage dans le creux de son bassin, semblait frémir.
Lou s'arrêta un momment, fixant Peter. Elle le savait. Ils allaient le faire. Ou du moins étaient bien partis pour ...
Le souffle haletant, elle laissa glisser ses mains sur le torse du jeune homme. Et puis un sourir. C'était une invitation au voyage. A ce voyage tant adulé, tant envié.
Oui elle le savait pertinemment ... C'était partit. Alors pourquoi s'arrêter. Elle ne devait pas laisser Peter dans cette état. Déjà elle sentait LA certaine partie de son corps, réagir aux différentes actions de la jeune fille.

C'est ainsi que la jeune fille continua alors ces petits gestes. Experte la petite Louise ? Non mais disons qu'elle avait déjà du à faire à cette situation.
Un baiser sur le torse, puis dans le cou pour enfin atteindre de nouveau ses lèvres. Petit mordillage côté oreilles. Mains atteingant la ceinture. et hop. La boucle fut défaite.
Rien de plus. Tout se faisait lentement, pour encore mieux apprécier ....
Désir ... désir ...

Des regards tendre puis aguicheurs. Baisers fougeux. Langoureux.
Des millions de filles auraient voulu lapider et massacrer Lou, si elles savaient ce qui se passait. Peu importe. Qu'ils s'abandonne à leur désir mutuel. Ils en avaient bien le droit.

Au diable, la jalousie. Place au plaisir.

Tout se faisait doucement, délicatement. Lentement aussi. Les lèvres s'accrochant les unes aux autres. Puis des baisers dans le cou. Ils le savaient tout les deux. Ils le feraient et personne ne pourra les arrêter. Amoureux, ils l'étaient. Peut-être pas assez. Ou peut-être un peu trop.
Les mains de Peter caressaient la peau de Lou. Par des gestes assurés et lents. Il embrassa le ventre de la jeune femme. Il n'avait jamais vu le tatouage qui se trouvait dans le creux de son bassin. Il passa ses doigts dessus. Son tatouage représentait le signe de l'infini marqué à l'encore noir. Vous savez un 8 allongé ... Peter y déposa ses lèvres mouillées et puis remonta celles-ci à la rencontre de celle de Lou. Dès que la jeune femme defit la boucle de ceinture de Peter. La réaction ne se fit attendre; il déboutonna le jean de celle-ci. Juste ça. Rien d'autre. Comme un jeu de rôle. Qui pouvait durer longtemps. Très longtemps.
Quelques sourires furtifs cachés entre deux baisers fougueusement amoureux. Leurs peaux en sueur collées l'une à l'autre. Leurs mains glissant sur le corps de l'autre. Un désir tellement fort. Puissant. Puis des baisers infinis. Les cheveux ébènes de Peter soulignés de mèches blondes se mélangeant à la cascade de cheveux or, lisse et soyeux.
C'était partit, et ça ne s'arrêterait sûrement pas. Le jeu avait commencé, et ils étaient tous les deux entrés dans ce une partie dangeureuse ...

Boucle de ceinture défaite chez Peter. Bouton dégrafé chez Lou. C'était partit. Prêt. Envoyé.
Touchers sensuels. Ventre et tatouages dévoilés. Des mains parcourant chaque corps.
Cela faisait presque deux heures qu'ils ne s'étaient échnagé aucun mot. Rien. Pas un seul. Que de simples gémissements de désir. Rien de plus. Sensation unique. Désir flamboyant. Regard ardents. Il n'y avait que ça.

Le jean entrouvert, laissait entrevoir la deuxième partie de la parure de sous-vêtements que portait Lou. Tout à fait séduisant.
L'étoile de Peter était totalement dévoilée. Lou y posa ses lèvres. Elle sentait le coeur de Peter battra à la chamade et son organe vital, par la même occasion, réagir parfaitement aux petits gestes de la belle demoiselle.
Non, elle ne pouvait le laisser dans cet état là. Pas possible.

La jeune fille désireuse, se leva, retirant son corps de celui du jeune homme. Elle laisse Peter complétement désemparé. Non, elle ne va pas le laisser comme ça, après tout ce qu'ils venaient de faire, quand même ? Non, Lou ne fais pas ça.
Ne t'en fais pas Peter.

La main de Lou saisit alors celle de Peter. L'invitant à se lever et à la suivre.
Ils se retrouvèrent alors debout. Dans le salon. Lou lève ses yeux vers Peter, qui la dépasse d'une dizaine de centimètres. Regard envieux. Puis une baiser.
La chambre n'est pas loin. C'est ainsi qu'ils s'y dirigèrent lentement ... Main dans la main. Corps contre corps ...

Les deux amants se retrouvèrent alors dans la chambre de la jeune. Sur le lit de Lou. L'un contre l'autre. Continuant la partie qu'ils avaient commencé tous les deux; ensemble. Les doigts entrelacés. Quelques pressions sur ceux-là. Puis des baisers sur leurs deux corps. Une fusion presque parfaite entre eux. Oui, juste presque.
Peter embrassa Lou dans le cou. Longuement. Puis mordilla la lèvre inférieure de celle-ci passionnellement. Il passait sa main le long du corp de Louise. Délicatement. Puis finit par ouvrir un peu plus encore le jean de la guitariste. Il embrassa le bas du ventre de celle-ci. Zone délicate et sensible.
Puis tout s'arrêta. Il remonta le long de son corps et arriva face à son visage. Il embrassa ses lèvres et lui souria. Peter passa sa main sur le visage de Lou. Leurs peaux se frottant l'une à l'autre. Puis une nouvelle fois leurs langues prirent contacts.
Deux heures sans rien dire. Deux heures de pur délice. D'amour fusionnel. D'échange. Et encore c'était loin d'être finit ...

Le réveil affichait les deux heures du matin. Lui sur Elle. dans sa chambre. Lui osant entrouvrir encore plus le Jean de la jeune fille. Ses mains sur son corps. Ses lèvres sur son bas ventre. Chaleur. Papillons. Gémissements de plaisir. Méconnaissable la petite Louise.

Pas très musclé le petit Peter, mais tellement sensuel, charmant. Il savait s'y prendre avec les filles. Bon point pour le jeune homme.
Les mains de la jeune fille glissèrent alors vers le Jean de Peter. A quoi bon qu'il le garde ? Ils avaient envie tout les deux de s'offrir l'un à l'autre. Après tout ... Délicatement, elle retira alors ce bout de tissu, qu'ils jugeaient tout les deux, inutiles. Ce petit geste délicat, lent, et parfait, laissa découvrir, un joli petit boxer noir. [^^]. Petit sourir.

Leurs peaux ne cessaient de se coller, de glisser l'une sur l'autre. Aucune envie d'arrêter. Envie de continuer. D'aller jusqu'au bout. De le faire. Sans contrainte. En esperant que personne ne débarque chez la belle blonde. Car souvent, l'une ou l'autres des membres des Cruel Sentence pouvait avoir l'habitude de débarquer à l'improviste dans la nuit. Surtout April. En l'occurrence, Lou n'avait aucune envie qu'on la surprenne en pleine ... action. Rein de pire ... Bref.

Les deux jeunes amants continuaient leur petit jeu. Peter, juste en boxer. Lou, soutient-gorge et pantalon.
Ils étaient bien partis pour toute une nuit. Ensemble. S'offrant l'un à l'autre.
Han, Lou en avait vraiment envie. Peter vavait un pouvoir d'attraction vraiment étonnant ....

Un soirée bien commencée. Des baisers à ne plus pouvoir les compter. La relation entre Peter et Lou évoluait très vite. Sûrement un peu trop mais bon. A leurs risques et périls. Leur journée avait été parfaite pendant toute sa durée. De la première minute jusqu'à cet instant présent. Tout pouvait déraper à n'importe quels moments. Mais pourquoi penser au futur alors que le présent se trouve être heureux.
Dès leur entrée dans cet appartement, une nouvelle affinité c'était imposée entre eux. Plus de sensualité. D'envie, d'attirance, de confiance aussi. Pourtant tout ce laissait apercevoir dans de simples baisers. De longues embrassades. De nombreux sourires. De nombreux gestes attentionnés. Rien que en voyant tout ça. On voyait l'interêt qu'ils se portaient l'un à l'autre.

Maintenant ? Une nouvelle étape était franchie. Ils s'offraient l'un à l'autre. Oubliant toutes rencoeurs, notions du temps, tous sujets taboo, tous les problèmes relationnelles entre leurs deux groupes, entre eux aussi; tout ça. Ne pensant plus à rien. Ils s'avançaient ensemble vers une nouvelle étape qui ferait avançer ou reculer leur relation amoureuse et amicale.

Peter savait que la chose la plus horrible qui aurait pu se passer à cet instant serait qu'une des Cruel Sentence débarque sans prévenir. Peter se ferait tuer sur place et Lou aussi par la même occasion. A moins qu'elles décident de l'envoyer dasn un hopital psychatrique. Enfin, au choix.
En attendant, les deux amants n'y pensait pas. Ils s'embrassaient sans s'arrêter. Sans rompre se contact entre eux. Franchissant une nouvelle étape

Petit soldat dressé au garde à vous. Vêtements et lingerie totalement arrachés. Oui c'étaient bels et bien deux corps totalement nus, qui se cabraient, s'offraient l'un à l'autre. Le premier individu roulant sur l'un, puis l'autre reprenant le dessus. C'était tout à fait incontrôlable. Désir ardent. Oui, une étape - une belle étape - venait d'être franchise. Peter avait su prendre le dessus sur la belle et à satisfaire son désir. Plaisir intense. Inouï. Ils gémissaient de plaisir et d'envie. Cris de joie et d'amour. Et toujours ces mêmes mots : plaisir, désir.
Leurs mains s'occupaient autrement, leurs langues parcouraient leurs corps. Gestes sensuels. Harmonieux. Telle une danse. Rythmée. Douce et attrayante. Brûlante d'envie. Chaleurs. Frémissements. Papillons. Tout se passait à merveille. L'impression de ne plus appartenir à ce monde envahit leurs esprits. Non, ils étaient véritablement dans leur monde. Dans leur bulle. Dans leur paradis.
Oui ca y est, ils s'offraient l'un à l'autre. Les parfums de bonheur, de plaisir enivraient la pièce. Ils défaillirent littéralement de plaisir. Cris. Sourires. Baisers ...
Plaisir, désir et envie, étaient bels et bien les maîtres mots de cette soirée.

[...]

Le lendemain. La jeune Louise se réveilla doucement. Son corps nu encore entrelacé avec celui de son partenaire. Un sourire s'afficha sur les lèvres de la jeune fille. Oui, ils l'avaient fait. Ensemble. Peter Davies et Lou O'Neill. Aussi incroyable que cela puisse paraitre. Cette nuit là, ils ne formaient qu'un. Parfaite union de plaisir et d'amour. Parfait. Exquis.

Lou glissa lentement son regard noisette vers Peter. Encore endormis le jeune chanteur. Divin, celui-là. Il avait conquis la belle.
Elle sentit le souffle chaud de la respiration régulière du jeune homme sur sa peau. Elle en frémit, la petite Louise.

Peter s'était endormi après la jeune femme. Collé contre elle. Respirant son parfum comme si c'était un besoin. Proches l'un de l'autre. Unis comme à leur premier baiser sur cette plage. Pourtant cette fois rien ne c'était passé. Pas une larme n'avait coulée. Seulement des sourires se bousculant sur leurs visages. Et puis deux corps nus sans vie, endormis sur un même lit. Ca avait été leur soirée rien qu'à eux. Personne pour les déranger des leurs ébats amoureux. rien ...

Peter dormait bien. Il sentait la présence d'un autre corps. Tel un rêve. Puis il ouvrit les yeux. Tout d'abord une lueur assez forte l'éblouie. Mais vite la vision de cette jeune femme. Son coeur battant. Tambourinant contre sa poitrine. Ses yeux encore voilés par cette luminosité se déposèrent dans ceux de Lou. Un regard intense, profond et sincère. Amoureux aussi. Enfin ...

Depuis combien de temps était-elle reveillée ? Impossible de savoir. En tout cas elle était toujours aussi belle. Toujours aussi éclatante.
Un sourire illumina le visage de Peter dès que ses yeux furent habitués au soleil. Pas un mot sortait de leurs bouches. Comme si le silence imposé était précieux. Comme si ... Ils ne voulaient pas brisés le souvenir de leur nuit. Peter se contenta de déposer ses lèvres contre celle de Lou et de laisser son front collé à celui de la jeune guitariste.

Il était magnifique. Quand il dormait. Tel un ange. Mais cet ange vint à se réveiller. Encore plus beau. Avec le soleil et ce magnifique sourire qui illuminait son doux visage. Parfaitement parfait. Irréprochable.
Leurs deux corps nus, entrelacés dans ce lit, ne faisaient toujours qu’un. Magique. Cette même petite chaleur s’emparait encore du bas du ventre de la jeune fille. Même petits papillons. Même petites étoiles. Et enfin, encore une fois, ses lèvres contre les siennes. Infinie douceur.

C’est elle qui vint à briser ce silence parfait. Elle et sa douce voix. Entre le grave et l’aigu. Unique. Oui, c’est bien elle, qui s’empara de la pièce avec ces quelques mots. Son front toujours collé à celui du jeune homme. Ses lèvres effleurant à peine les siennes.

« Je vais prendre une douche et je te prépare ton petit-déjeuner. Ne bouge pas. J’en ai pour quelques minutes. »

Et encore une fois. Ses lèvres. Sur celle de Peter. Intense et magique. Ses baisers. Elle ne pourrait jamais s’en passer.

Et hop. Sortie du lit. Nue. Ne laissant apercevoir que son dos. Et dans le creux de la chute de ses reins. Ce tatouage. Magnifique signe de l’infini. Beau. Très beau. Ni trop grand, ni trop petit. Parfaitement bien dessiné. De ses encre infiniment noire.

Dans sa douche, la jolie Lou. L’eau bouillante ruisselant sur son corps de femme. Sensation divine de chaleur. Petit sourire en coin et yeux clos. Cette soirée et cette nuit furent magiques. Elle s’en souviendrait encore longtemps. Quoiqu’il arrive. Elle s’en fit même la promesse, cette jolie Louise.

Elle sortit enfin de la salle de bain. Enroulée dans un peignoir. Légèrement attaché. Les cheveux humides tombant, toujours très gracieusement, sur son corps.
Elle se dirigea vers la cuisine. Elle y prépara un merveilleux petit-déjeuner anglais.
Une fois ce dernier finit, elle se dirigea, plateau en main, vers sa chambre.

« Petit déjeuner au lit ! Vraiment tu as de la chance … »

Vraiment, oui. Elle s’installa à côté de Peter. Et lui présenta chaleureusement le plateau. Œuf, bacon, confiture, café, lait, jus d’orange. Petit déjeuner de roi. Typiquement anglais. Parfait. Appétissant. Sucré. Salé.
A votre guise.

Lou était partis. Triste ... Peut-être pas. Au pire, elle était juste dans la pièce à côté. Peter fixa d'abord le plafond. Ses deux mains posées sur ses pectoraux. Puis il ferma les yeux pour mieux entendre ce qui se passait dans l'appartement.

Peter resta là. Ecoutant l'eau ruisseler. Profitant du petit courant d'air qui passait sur sa peau. Déclanchant un grand frisson qui lui déchira la moelle épiniaire.
Tout avait été parfait. Tout l'était encore. Tout le restera. Rien cette fois ne pouvait et ne pourra gâcher leur ... Bonheur ? Peut-être que finalement il existe cet étrange bonhomme qui est la quête originel pour chaques êtres humains normalement constitués. Peter avait juré qu'il n'existait. Mais finalement, il s'était peut-être trompé ...

Le soleil lui caressait la peau. Quand il aperçu cette silouhette s'approcher de la chambre. Il eu même l'occasion de sourire. Belle journée ...
Quand la tête blonde de Lou entra dans son champs de vision il se redressa. Un petit sourire illumina son visage.

Quand elle lui tendit le plateau qui était plein de bonnes choses typiquement anglaises. Il l'attrapa pour qu'elle puisse s'asseoir à côté de lui. Il ne mangea pas tout de suite. Il se contenta de sourire bêtement. Complètement gaga, le petit Peter Davies. [X'DDD]

"Ouai, je commence à m'en rendre compte ... Je suis vraiment chanceux. "

Oui, vraiment chanceux d'être le petit ami de cette jeune femme ...

Chanceux. Le petit Peter. Mais elle aussi. Elle était chanceuse, cette petite Lou. Enfin … Ne parlons pas trop vite.

Ils étaient tous les deux là. Peter encore dans sa tenue d’Adam. Lou juste couverte d’un peignoir. Légèrement fermé. Le rêve.
Encore mouillée, la jeune fille. Mais heureuse.

Œuf. Bacon. Tout y passait. Lentement. Sûrement. Ils se faisaient manger l’un l’autre. C’était assez mignon à voir. Qui aurait pu prévoir, que ce moment de bonheur serait l’un des derniers ? Et qu’ils en finiraient par se détester ? Non, vraiment rien ne laissait présager cela. Triste dénouement à prévoir pour ses jeune amoureux. C’est douloureux l’amour. C’est faux.

« Alors quel est votre programme de la journée, mon cher ami ? »

Dit-elle entre deux fruits frais.

Vraiment royal ce petit déjeuner.

Qu’avait-elle à faire ? Oh, sûrement une petite interview, en fin de journée. La poisse. Pas envie d’y aller. Mais bon. Les devoirs du métier. Fatiguant. Barbant. Mais c’est ce qu’elle voulait faire le plus au monde après tout. Alors il fallait accepter les différentes contraintes.

Globalement, la journée de la jeune Louise Mary s’annonçait plutôt calme. Pas trop mouvementé. Elle allait sûrement recevoir la visite de sa mère. Assez fréquent, ces jours-ci. Enfin. Pareil, il fallait s’y faire …

« Non parce que j’me disais que … si t’avais rien à faire … »

Petit visage d’ange sur sa petite caboche. Mignonne, petite Louise. Enfantine. Petit yeux de biche presque.
Elle se disait quoi ? Que peut-être ils pouvaient passer la journée ensemble ? Possible.
Le reste à voir …

Oui, très mignon à voir. Deux jeunes amoureux s'aimant jusqu'à ne plus s'aimer ... Peut-on appeler ça de l'amour ? Ou plutôt un amitié gâchée en langage codé.

Rien n'aurait pû laisser penser que la suite serait aussi ... Dramatique ou Tragique ? Une véritable pièce de théatre. Les deux Tragédiens jouaient à un jeu dangereux. Laissant apercevoir une attirance physique l'un pour l'autre. Se dévoilant par des gestes tendres et attentionnés.

"Je suis tout à toi, rien qu'à toi cher Lou O'Neill ... "

Il sourit à la jeune femme et effleura ses lèvres ...
Une véritable sensation de bonheur. Un désir naissant encore une fois. Puis ... Les yeux de Bambi de Lou. Waw, c'était trop mignon à voir ... Il fondit sur place. Se désintègra tellement vite ...
Enfin, bon, bref.

"Donc, si je comprends bien ... On va encore passer une journée collés l'un à l'autre. S'embrassant ..."

Sur ce, il l'embrassa langoureusement ...
Un sourire, un petit déjeuner parfait, et eux ...

Un baiser langoureux. Qu’elle prolongea intensément. Si toutes ces journées pouvaient se passer ainsi… Oui sans hésitation. Quoi de meilleur que de rester là. Nu dans un lit avec un homme charmant et séduisant. Rien.

« J’ai juste une interview, je crois, en fin de journée. Que je peux annuler si je veux … »

Petit sourire en coin. Gorgée de café.
Barbante cette interview. Et pourquoi qu’elle d’abord. Elle n’est pas la seule à faire partie du groupe des Cruel Sentence. D’où le qualificatif de ‘groupe’. Elles sont 4 bon sang. Et la leader, comme on dit souvent dans le métier, c’est plus … April. Enfin. ‘Interview plus personnelle’ qu’ils disent. Chiant. Barbant. Nul. Mais c’est le métier.

« Donc si mon intervention a bien été efficace … tu acceptes de passer une nouvelle fois … ta journée avec moi ? »

Irrésistible ce Peter. Un charme dégagé en continue. Désir brûlant. Constant. C’est fou ça. Une même envie que la veille.
Une nouvelle les lèvres de la belle blonde entrèrent en contact avec celle du brun ténébreux.
Et tiens en parlant de couleur …

« Tu t’les teints ? »

Changement de thème radical. Bien du Lou, ça …
Question débile ? Hof, simple petite pulsion. Un petit renseignement. Histoire de faire la conversation.
C’est ça qu’elle adorait faire avec Peter. Avoir des conversations pas forcément … très instruites. Juste des petites questions existentielles comme celles-ci. (=

« T’es ch’veux, j’veux dire … »

C’est vrai quoi. Ce noir profond …
Oui, c’étaient bien les petites existentielles de Lou. Il lui en fallait bien.
Tout le monde en a …

Peter avait posé le plat part terre. Puis s'était retourné vers Lou. Un sourire aussi illuminant que la première fois que ses lèvres eurent touchées celle de cette belle jeune femme.
Petit touché sensuel. Oserait-on dire que ces deux là, c'était une amourette de passage ? Non, sûrement pas. En tout cas en ce moment personne n'avait le droit de voir ça comme ça. Baisers. Embrassades langoureuses. Eux. Nus. Rien.

"MMMm....Mouaiis. Pourquoi pas. "

Il posa sa tête contre celle de Lou. Amoureusement méchant le petit Peter Davies.
Quand Lou lui posa cette question sur ses cheveux; comment dire ... Jamais personne n'avait osé lui demander à part quand il va chez un nouveau coiffeur. Il recula de surprise. Puis son sourcil droit se leva doucement.
Oui, ses cheveux étaient teints. Une couleur noir ébène et des mèches blanches.

"Oui, oui. T'as un bon oeil. C'est super pas voyant ... "

Un sourire moqueur. Puis un éffleurage de lèvre très rapide.
Juste.

« Oui certes, mais je suis très observatrice. »

Petit rire taquin. Regard moqueur. Sourire en coin. L’amour. Ils étaient faits l’un pour l’autre. Du moins à cet instant.

« Alors comme ça, dans ce sens, tu mens à tes fans. Aaah je vois ton petit jeu, mon cher Peter ! »

Enquête difficile ? Appeler Lou O’Neill.

« Et bien moi … »

Petit mouvement de tête, du style « je le vaux bien … »

« 100% naturel ! »

Rire. Sourire. Que du bonheur.
Elle aimait bien être comme ça, la petite Louise. Avec Lui. Il ne se moquait pas d’elle et savait jouer le jeu. Adorable, ce Peter. Vraiment.

Lou arrête un doux regard sur le visage de Peter. Oui, elle avait beaucoup de chance. Peter se révélait extrêmement attentionné, gentil. Charmant.

« Tu sais Peter, je ne t’aurais jamais cru aussi … »

Admirative la jolie blonde. Elle ne put terminer sa phrase. Pour fin, ses lèvres rencontrèrent celles de Peter. Langues aussi, par la même occasion.

Nus dans un lit. Encore et toujours. Il n’était que neuf heures du matin. Ils avaient toute la journée devant eux. C’était assez formidable. Et dire que la plupart des jeunes de leur âge partaient en cours à cet âge là. Vraiment. Il n’y avait rien de mieux que ça. La musique. C’est vrai. Presque aucune contrainte. Magique.

Lou O’Neill et Peter Davies. Si un jour on leur avait dit que … Chut ! On ne leur avait rien dit. Et c’était peut-être mieux ainsi. Ils étaient heureux à cet instant précis. Rien ne pouvait leur gâcher quoique ce soit. Rien …

Tout ça à dix huit ans à peine ... Quelle définition plus parfaite peut-on donner du bonheur ? Ils avaient tout pour eux. Musique. Amour. Liberté. Célébrité. Argent. Bonheur ? Peut-être bien que oui, finalement.

Sourire amusé. Peter déposa ses lèvres sur celle de Lou. Désir, tendresse. Et dire que cette histoire n'était partie que de rien. Devenant une amitié de courte durée. Et un amour. Simplement.

Danse fougueuse entre leurs langues. Contact tellement doux entre leurs deux corps. Un amour indéfinissable mais pourtant éphémère.
Main sur la hanche. Sourire malicieux. Leur soirée se pousuivait parfaitement par cette matinée qui s'annonçait très bien. Trop bien ...

"Aussi adorable ... Aussi magnifique ... Aussi gentil ... Aussi formidable ... "

Etoiles dans des petits n'oeils de Bambi. Espérant un signe d'affirmation de la part de Lou. Rire nerveux.

A ce moment là rien n'aurait pu gâcher ce moment magiquement beaux. Une féérie sensuel entourée de sourires amusés.

"Voyez-vous ma chère. Le jeune homme qui se trouvent tout près de vous est parfaitement parfait. Retenez son prénom, car un jour vous pourriez en avoir besoin. Peter Davies. "

Peter tendit sa main à la jeune guitariste d'un façon 'enchanté de vous rencontrer ...'
Amusement. Enchantement. Vraiment magique comme amour ...

Amusant, ce petit Peter. Touchant. Envoûtant. Incroyablement parfait. Ne serait-ce qu’à cet instant précis.
Qui allait bien pouvoir prédire, ce qu’il allait se passer ? Qui sera l’auteur de ces quelques rumeurs, massacrant leur amour ? Qui pourra faire une chose pareille ? A cet instant, personne n’aurait pu le dire. Même pas eux. Inconscients, ces deux jeunes amoureux. Ils allaient s’abandonner et s’humilier.
Destin tragique. Dénouement dramatique.

Depuis la veille, la jeune fille ressentait quelque chose de vraiment fort pour le jeune homme. Ca y est. Elle le savait. Ils avaient franchis le pas. Ensemble. Peut-être un peu rapidement, mais ils l’avait fait. Ce beau jeune chanteur ne s’était pas enfui. Le lendemain. Elle pouvait lui faire confiance.

« Aussi adorable … Aussi magnifique … Aussi gentil … Aussi formidable … »

Dit-elle calmement, pour confirmer les propos de Peter.

Délicieux sourire s’affichant sur les lèvres de la belle demoiselle.

« Je vous assure mon cher, que jamais je ne pourrait oublier votre doux nom. Parce qu’il occupe constamment mes pensées. Aussi parfait soit-il. »

Et encore, une belle et longue danse endiablée de leurs langues. Infinie douceur. Magie. Féerie.